TRAVAUX LINGUISTIQUES
Séances SELEFA
Dernière mise à jour le
mercredi 28 février 2018
Voir l’agenda des séances
(cliquez ici)
1. Axes de travail des
Séances de la SELEFA
Les
séances, qui ont démarré en
octobre 2004, ont déjà abordé les questions suivantes :
A. Séances de
recherche linguistique :
1. Premier
bilan des mots d’origine arabe et orientale dans les dictionnaires français.
2. Les
prénoms araméens.
3. Les mots arabes dans la langue des jeunes.
4. Les
prénoms arabes et musulmans.
5. Corpus des termes
mésopotamiens dans les langues européennes.
6. Les mots arabes et orientaux
dans l’art
culinaire.
7. Les mots de l’Islam
comme religion et comme civilisation.
8. Les mots syriaques dans le
Coran.
9. Réflexion méthodologique sur l’étymologie.
B. Séances de partage
des héritages :
Il s’agit
avant tout de présenter les actions en cours, mais on peut également envisager des actions nouvelles :
1. Les
prénoms arabes et musulmans.
2. Les
mots arabes dans le langage des jeunes.
3. Le
ciel, patrimoine commun.
4. « Ces mots qui disent l’Autre ».
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2. Comptes rendus des
Séances de la SELEFA
2003
* Séance du
jeudi 18 septembre 2003 :
Étaient présents : Pierre Bordreuil, Roland
Laffitte, Christian Lochon, et Arnaud Sérandour.
Il s’agissait de la suite de séance précédente destinée à
dégrossir les objectifs de travail de la SELEFA. la discussion a mis en
évidence les besoins suivants :
1. Dresser
un état des mots portant la marque de la langue arabe et des langues
orientales dans les dictionnaires français :
2. Rendre
compte des travaux effectués dans les autres pays sur ce sujet : le travail
d’Abdelmajid El Houssi permet de rassembler les données concernant l’Italie
; quant au travail fait en Espagne, nous avons les publications de Federico
Corriente et la familiarité avec les travaux faits dans ce pays par notre
ami Omar Bencheikh.
3. Apporter des contributions nouvelles à la lexicographie et à l’étymologie
des mots d’origine arabe et orientale dans la langue
française en
rapport avec les autres langues d’Europe, cela avec l’aide d’un réseau de
consultants qualifié. Un travail dont nous sommes déjà en possession est le
bilan du « Corpus colonial » effectué par Roland Laffitte l’inventaire des «
Termes arabes utilisés dans la langue des jeunes », qui peuvent commencer le
Bulletin
: C’est ainsi que le n° 1, du second semestre 2002, se a
abordé les mot originaux de la langue des
jeunes à Rouen avec Fatema Chergui, et le n° 2, du 1er semestre
2003, ceux de la région Rhône-Alpes avec Karima Younsi, Alim et
Dalila Amerouche.
* Séance du
jeudi 20 novembre 2003 :
Étaient présents : Pierre Bordreuil, Roland
Laffitte, Christian Lochon, et Arnaud Sérandour.
Un axe de travail, rendu possible par la compétence des participant est de
faire le point sur l’étymologie des prénoms dus aux langues orientales dans
le calendrier romain.
Il est apparu qu’une typologie des prénoms était nécessaire
et qu’il est souhaitable dans un premier temps de se concentrer sur les noms
qui, d’un point de vue linguistique, sont araméens. Il ne semble pas qu’il
soit toujours possible de donner une datation satisfaisante de ces noms. Il
a été convenu que les participants apporteront pour la prochaine séance
consacrée à ce sujet le
matériel dont ils disposent.
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2004
* Séance du
jeudi 12 février 2004 :Étaient présents : Omar Bencheikh, Pierre Bordreuil, Roland
Laffitte, Christian Lochon, Arnaud Sérandour et Arnaud Sérandour. Présentation du travail de Roland Laffitte et Karima Younsi
sur la Langue des jeunes à Ivry et Vitry-sur-Seine.
* Séance du
jeudi 27 mai 2004 :
Étaient présents : Pierre Bordreuil, Roland
Laffitte, Christian Lochon, et Arnaud Sérandour.
Fut abordée une première liste de prénoms araméens :
Barnabé,
Barthélemy, Madeleine,
Marthe,
Taddeuz,
Thomas et
Samantha. Chaque entrée sera ensuite complétée par
les premières attestations et un commentaire contextuel. Le point sur
Suzanne fut
fait
par Arnaud Sérandour
: l’hypothèse qui
s’est dégagée est que ce nom doit être ajouté à la liste des prénoms
araméens. Il a été retenu le besoin d'une mise au point sur
Marguerite
pour voir quel cheminement s’est effectué à partir de
moyen perse, par l’araméen avant de
passer à l’hébreu et au grec.
* Séance du
mercredi 15 septembre 2004
Étaient présents : Pierre Bordreuil, Roland
Laffitte, Christian Lochon, et Arnaud Sérandour.
La séance fut consacrée à quelques prénoms bibliques empruntés par l’hébreu
à d’autre langues. Un point fut effectué par Christian Lochon sur les
différentes hypothèses concernant les prénoms biblique
Aron,
Marie
et
Moïse.
C'est l’hypothèse égyptienne qui semble privilégiée. Roland Laffitte
présenta ensuite les prénoms d’origine babylonienne :
Balthazar,
Esther
et
Mardochée.
* Séance du
mercredi 20 octobre 2004 :
Étaient présents : François Bron, Roland
Laffitte, Olympe Lemut, Brigitte Lion et Christian Lochon.
De nombreux mots sont parvenus de Mésopotamie ancienne en
Europe par des voies très diverses.
Dans l'Antiquité, le latin les hérita du grec qui les accueillit par le
canal des langues de la Syrie ou de
l’Anatolie. Au Moyen-Âge,
le latin et les langues communes en reçurent un certain nombre de l’arabe,
où ils étaient parvenus par le canal des dialectes araméens.
Olympe Lemut exposa
première liste d’une quinzaine de mots, dont l’étude devra être complétée
par l’établissement des voies de passage de l’arabe au latin médiéval et aux
langues européennes. À propos du sésame, Brigitte Lion a signalé le
Bulletin on Sumerian Agriculture
qui fait le point sur les noms de plantes, ce qui devrait être utile pour le
travail engagé.
Roland
Laffitte a ensuite donné un premier complément à cette liste dont la
filiation semble établie en recoupant les listes existantes, ce qui donne
encore 14 mots. Mis à part les quelques termes civilisationnels évidents,
ont été ajoutés quelques termes connus comme des emprunts à l’hébreu qui
sont d’origine mésopotamienne, et a été présenté une petite liste de termes
dont l’origine semble babylonienne et qui méritent du moins d’être étudiés.
François Bron a proposé de s'interroger sur le mot marre, qui est une sorte
de pioche, et qui est peut être à relier à l’akkadien
marru.
Un échange a porté sur
l’importance de la bibliographie disponible et l’idée est apparu qu’un
bagage minimum pourrait être mis à disposition grâce au
Bulletin de la SELEFA.
Christian Lochon s’est demandé si l’akkadien n’intervenait pas dans la
grande diversité des noms de fruits et légumes existant en Iraq par rapport
au reste du Moyen Orient et Brigitte Lion a signalé qu’il fallait encore
tenir compte, en parlant de l’akkadien lui-même, de l’extrême diversité des
dialectes appartenant à cette langue et des différences lexicales entre eux.
* Séance du
mercredi 17 novembre 2004 :
Étaient présents : Abdelrezzak Chebira, Roland
Laffitte, Olympe Lemut, et Christian Lochon, Arnaud Sérandour.
Elle fut consacrée au choix des
transcriptions des prénoms arabes et musulmans à usage des familles et des
administrations, élaboré en partenariat avec l’APIC (Association Pour une
Interculturalité Citoyenne) et qui devrait entrer en phase d’évaluation aux
services de l’État civil des municipalités de Lille et Roubaix à l’automne
2005. (voir CR détaillé joint)
* Séance du
mercredi 15 décembre 2004 :
Étaient présents : Omar Bencheikh, Pierre Bordreuil,
Abdelrezzak Chebira, Roland
Laffitte, Olympe Lemut, Antoine Lonnet, Christian Lochon et Sophia-Tamani
Stamoulis.
La séance, ouverte par une communication de
Omar Bencheikh sur « Les mots arabes dans le Robert », a entamé un cycle de
bilan du corpus des mots arabes et orientaux dans les dictionnaires
français. Il est clair que le Robert ne doit pas seulement être vu comme le
Petit Robert dont les déficiences du point
de vue de l’étymologie des termes étrangers sont manifestes mais également
du Robert historique. De ce point de
vue, notre Bulletin a pris
l’habitude de partir des données fournies par le TLF
et par le DHLF.
Le point fut ensuite fait par Olympe Lemut sur les terme cumin dont un article est préparé pour le
prochain numéro du Bulletin.
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2005
* Séance du
mercredi 26 janvier 2005 :
Étaient présents : Paul Balta, Omar Bencheikh, Pierre
Bordreuil, Abdelrezzak Chebira, Abdelmajid El Houssi, Roland
Laffitte, Naïma Lefkir, Olympe Lemut, et Christian Lochon, et Sophia-Tamani
Stamoulis.
La séance fut consacrée à une intervention
de Roland Laffitte sur « Les champs sémantiques et voies d’emprunts des mots
arabes et orientaux » (voir CR détaillé
joint).
* Séance du
mercredi 23 février 2005 :
Étaient présents : Pierre Bordreuil, Abdelrezzak Chebira, Roland
Laffitte, Olympe Lemut et Christian Lochon.
Elle fut consacrée au
travail sur les critères de choix des entrées pour le Guide des prénoms
arabes et musulmans.
* Séance du
mercredi 20 avril 2005 :
Étaient présents : Pierre Bordreuil, Abdelrezzak Chabira, Mansour Hadifi, Roland
Laffitte, Olympe Lemut et Christian Lochon.
La séance fut en partie consacrée au projet
de Mansour Hadifi de recenser « Les mots français dans l’arabe syrien », la
discussion ayant porté sur l’intérêt de procéder par champs sémantiques, de
manière à n’avoir pas à attendre une étude exhaustive pour produire les
premiers résultats.
Elle fut suivie d’un point du travail sur les prénoms arabes et
musulmans.
* Séance du
mercredi 25 mai 2005 :
Étaient présents : Paul Balta, Mansour Hadifi, Roland
Laffitte, Olympe Lemut, Christian Lochon et Sophia-Tamani Stamoulis.
La séance permit d’ouvrir des perspectives de
travail sur les emprunts à la langue arabe, après rapport introductif de
Roland Laffitte. Nous avons ainsi :
1. La poursuite du bilan des
dictionnaires français ;
2. L’examen des travaux effectués et non
répertoriés par les dictionnaires français : notamment ceux effectués en
Espagne et en Italie ; 3. La collecte de termes intéressants relevés au fil
des lectures d’études diverses suivies pour d’autres buts que la recherche
étymologique ;
4. La mise en place d’un travail systématique dans deux
directions : les termes de botanique et de l’art culinaire, domaines qui ne
présentent entre eux qu’une plage d’intersection mais ont été choisis en
raison des centres d’intérêts des sociétaires et de leurs disponibilités.
* Séance du
mercredi 12 octobre 2005 :
Étaient présents : Paul Balta, Philippe Boutrolle, Mansour Hadifi, Roland
Laffitte, Olympe Lemut, Christian Lochon et Sophia-Tamani Stamoulis.
La séance fut consacrée
au travail sur « les mots d’origine mésopotamienne ». Un point sur le mot
sésame
fut présenté par Roland Laffitte, et un autre, concernant le terme
safran,
par Olympe Lemut.
La
liste des prochaines études prévues est la suivante :
albotin,
caroube,
romaine
(la balance), sem
et
simoun
pour les termes dérivés des plantes,
athanor et
tendoori,
grabeler,
marre et
semoule
pour les produits de l’agriculture et les instruments agraires.
Séance du
mercredi 23
novembre 2005 :
Étaient présents : Françoise Aubaile-Salenave, Paul
Balta, Philippe Boutrolle, Roland
Laffitte, Olympe Lemut, Christian Lochon et Sophia-Tamani Stamoulis.
La séance fut la première
du cycle consacré aux « Termes d’origine arabe et orientale dans le domaine
des arts culinaires ». Plusieurs interventions, faites à partir de matériaux
existants par Paul balta, Sophia-Tamani Stamoulis et Philippe Boutrolle
permirent de souligner quelques mots intéressants devant faire l’objet de
recherches plus approfondies. Les pistes de ttavail offertes sont les
suivantes :
1. La mise au point d’une bibliographie avec le concours
de Françoise Aubaile-Salenave,
2. L’élaboration d’une liste d’emprunts
récents venus avec le retour des Français d’Algérie, l’immigration
maghrébine en France, le tourisme et la mode de la cuisine orientale, point
qui devra faire l’objet d’une prochaine séance; 3. avec le tourisme et la
mode de la cuisine méditerranéenne;
3. la mise en évidence de quelques
termes méritant des mises au point, de nouvelles recherches et sur lesquels
nous devrons revenir.
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2006
* Séance du
mercredi 1er février 2006 :
Étaient présents : Paul Balta, Philippe Boutrolle, Roland
Laffitte, Jean-Marie Lemblard, Olympe Lemut, Christian Lochon et Sophia-Tamani Stamoulis.
Le point fut fait sur les difficultés rencontrées dans l’élaboration du
Guide des prénoms arabes et musulmans,
engagée à la demande le l’APIC (voir à ce sujet le
Dossier complet en ligne). Une typologie des prénoms arabes et musulmans
a été effectuée à cette occasion par Roland Laffitte qui a résumé les
principales conclusions de l’étude entreprise à ce jour et les exigences
principales relevées pour sa poursuite.
* Séance du
mercredi15 mars 2006 :
Étaient présents : Paul Balta, François Bron, Mohamed
Ben Smaïl, Philippe Boutrolle, Roland
Laffitte, Snejana Gadjeva, Jean-Marie Lemblard, Olympe Lemut, Mohamed
Oubahli, Hélène Thomas et Mohammad Yakoub.
Extraits parus dan le
Bulletin de
la SELEFA n° 7,
1er semestre 2006.
(Voir CR détaillé joint).
Ont été fournies à cette
occasion :
1. Un liste de termes botaniques fournie par Philippe
Boutrolle à partir des dictionnaires usuels. Dans cette liste, les termes botaniques entrant dans le corpus
des termes des arts culinaires.
2. Une liste des termes culinaires autres que les termes
botaniques, établie par Roland Laffitte partir des mêmes sources : Mohamed Ben Smaïl, Majid El
Houssi et Hassane Makki plus quelques ajouts.
3. Un liste
par Roland Laffitte
donnant les derniers termes
recensés par les dictionnaires ou non encore répertoriés.
TÂCHES À EFFECTUER
1. Inventaire des travaux non répertoriés par
les dictionnaires de base.
* En langue française :
** Les ouvrages de nos trois amis, Mohamed
Ben Smaïl, Hassane Makki et Abdelmajid El Houssi : Philippe Boutrolle a
présenté une Liste des termes du domaine de la botanique auxquels est
attribué une origine orientale extraite de ces ouvrages auxquels il a ajouté
le Dictionnaire étymologique de botanique de François Couplan, Paris :
Delachaux et Niestlé, 2000. Nous avons extrait de cette liste les noms de
plante figurant dans les Arts culinaires, liste à laquelle nous avons ajouté
les mots autres que les noms de plante dans ces trois ouvrages et les termes
tirés du second livre de Mohamed Ben Smaïl, soit le 4ème ouvrage.
Nos trois amis sont priés de vérifier que les listes tirées de leurs
ouvrages sont complètes, et de souligner, dans une communication écrite, les
apports qu’ils ont faits par rapport aux dictionnaires de base cités plus
haut. Ces contributions constitueront en effet la première étape de la mise
à jour à faire par rapport aux données des dictionnaires de base.
** Autres travaux en langue française : rares
sont les travaux systématiques en langue française. Le TLF a recours à ceux
de Raymond Arveiller, notamment rassemblés dans Addenda au FEW xix (Orientalia),
éd. 1999, et ceux de Nasser Fathi, Emprunts lexicologiques du français à
l’arabe, des origines jusqu’à la fin du xixe siècle, 1966, mais
n’utilise pas systématiquement les travaux publiés par
différents linguistes,
philologues ou historiens des sciences touchant à l’étymologie.
* Utilisation des travaux effectués dans
d’autres pays :
** pour l’Italie : notre ami Abdelmajid a
dépouillé les sources italiennes. Nous avons naturellement les travaux de
synthèse de Giovan Battista Pellegrini, Gli arabismi nelle
lingue neolatine, largement utilisé dans le Bulletin, auquel il faut
ajouter l’ouvrage relativement récent de Marco Mancini, L’esotismo nel
lessico italiano, 1992, disponible dans notre documentation.
** pour l’Espagne : l’essentiel du travail a
été effectué par Federico Corriente et les résultats en sont rassemblés dans
le Diccionario de arabismos y voces afines en
iberorromance et dans divers articles travaux
disponibles auprès de la Rédaction.
** pour l’Allemagne et les pays de langue
anglaise, il ne semble pas qu’il y ait des travaux originaux. Nous sommes en
possession de la thèse récemment publiée en allemand de Raja Tazi, Arabismen
im Deutschen, 1998, qui reprend les sources que nous avons inventoriées en
italien et en espagnol mais qui donne une présentation systématique et
utile. Nous devrons aussi examiner les travaux en langue anglaise, notamment
le livre de Garland Cannon, The Arabic Contributions to the English Language,
1994.
L’examen systématique de ces travaux
linguistiques doit nous permettre d’inventorier les contributions nouvelles,
les questions tranchées, les hypothèses originales, et d’effectuer ainsi les
mises à jour pour un certain nombre de termes à recenser.
[…]
(pour
le compte rendu complet, voir CR détaillé joint).
* Séance du
mercredi 28 juin 2006 :
Étaient présents : Aïcha Arnout, Philippe Boutrolle,
Mark Geller, Roland
Laffitte, Jean-Marie Lemblard, Naïma Lefkir, Jean-Claude Martzloff, Larbi
Mechkour, Sophia-Tamani Stamoulis, Mohammad Yakoub.
La séance fut consacrée à la présentation,
par Roland Laffitte, à l’appui d’une vidéoprejection, du projet de représentation des voûtes célestes mésopotamienne, grecque, arabe
et contemporaine, porté par SELEFA. En mettant en évidence le fait que 24
de nos constellations nous viennent de Mésopotamie et que les deux-tiers de
nos noms d’étoiles sont arabes, il s’agit de présenter la richesse des
représentations stellaires méconnues et leur imaginaire.
* Séance du
18 mercredi octobre 2006 :
Étaient présents : Paul Balta, François Bron, Philippe
Boutrolle, Roland
Laffitte, Jean-Marie Lemblard, Olympe Lemut, Mohamed Oubahli, et Mohammad
Yakoub.
La séance fut consacrée au terme
« safran ». L’idée de départ de mettre de ce terme dans le corpus des mots
d’origine mésopotamienne s’étant avérée problématique, Olympe Lemut a fait
le point sur la documentation mésopotamienne ; Philippe Boutrolle a exposé
les données de la paléobotanique sur cette plante et les plantes voisines ;
Roland Laffitte a exposé l’hypothèse d’un dérivation des termes
عصفر
cusfur « carthame », et
ﺰﻋﻓﺮﺍﻦ
zacfarān, « safran », de la racine arabe SFR,
(voir « Consi-dérations sur l’origine du mot safran », dans ce numéro du
Bulletin, p. 9-16.
* Séance du
6 mercredi décembre 2006 :
Étaient présents : Mahmoud Azab, Paul Balta, Philippe
Boutrolle, Roland
Laffitte, Naïma Lefkir, Olympe Lemut et Mohammad Yakoub.
La séance a marqué le lancement d’un nouveau
chantier de travail, qui est consacré aux « Mots de l’islam ». Il s’agit de
traiter, à partir des textes classiques, un certain nombre de termes dont la
traduction habituelle dans les langues européennes est source de
malentendus. C’est Mahmoud Azab qui a ouvert la voie avec une communication
sur le terme islam opérée à partir du Coran., souvent traduit par
« soumission ». La discussion a encore porté sur le besoin de mettre en
évidence les reflets des interprétations discutables sur les deux rives de a
Méditerranée et les enjeux d’une bonne traduction.
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2007
* Séance du
mercredi 14 février 2007 :
Étaient présents : Paul Balta, François Bron, Philippe Boutrolle, Roland
Laffitte, Naïma Lefkir, Olympe Lemut, Christian Lochon, Mohamed Oubahli,
Sophia-Tamani Stamoulis et Mohammad Yakoub.
Philippe Boutrolle fit d’abord un point
paléobotanique sur le pistachier vrai,
Pistacia vera L. Natif d’Asie centrale, il
a été introduit en Asie occidentale au cours du dernier millénaire av. è.c.
via le persan de cette époque – nous avons aujourd’hui le terme pistak
pour une autre plante –, son nom s’est étendu aux langues sémitiques (aram.
pistaqā
> ar. fustuq)
et au grec (pista}kia).
Le pistachier vrai a donc reçu un nom importé différent des espèces
autochtones très proches,
qere}bintoj
chez les Grecs, et <bðm>
dans les langues sémitiques (akk. buðnu,
aram. buðmā,
ar. buðm), dont
les drupes étaient récoltées depuis très longtemps, probablement 8.000 ans
av. è.c.
Roland Laffitte recensa ensuite les termes
empruntés à l’arabe et aux langues orientales déjà répertoriés mais dont
l’étymologie mérite remarques et compléments d’explication. Outre le terme
pistache déjà évoqué, c’est notamment le cas d’achard,
andouille, balsame
et beaume,
bergamote,
capitaine – le poisson –,
casse,
cinnamome,
couscous,
curcuma,
galanga – ou
garingal –,
lime et
limon,
orange,
pastèque,
potiron,
ratafia,
semoule, etc. Un accent particulier fut mis
sur girofle dont la réalité botanique semble différente de celle du
gariophyllon
décrit par Pline l’Ancien, et au sujet duquel fut évoquée l’hypothèse d’une
parenté avec l’ar.
قرنفل
qaranful,
lui-même dérivé d’une langue du site natif du
Syzygium aromaticum L., soit l’île de
Ternate, dans les Moluques, ou d’une langue voisine de ce lieu, cf. malyalam
grampu,
tamīl kirāmpu,
thaï kanphlu,
khmer khan pluu, etc.
Ces travaux
feront l’objet d’articles dans les prochains numéros du Bulletin.
* Séance du
mercredi 18 avril 2007 :
Étaient
présents : Paul Balta, Philippe Boutrolle, Pierre Bordreuil, Roland Laffitte,
Naïma Lefkir, Olympe Lemut,
Christian Lochon,
Arnaud Sérandour, Mohamed Taleb.
La séance
fut consacrée à « la dissymétrie entre l’ar.
كافر
kāfir et le latin infidelis ».
La communication, préparée par Abdelmajid El Houssi et Roland Laffitte, fait
suite aux articles sur roumi et gaouri
parus dans les numéros précédents de notre Bulletin. Elle s’inscrit donc dans
l’étude sur les reflets dans les langues européennes des manières dont est
nommé l’Européen par nos voisins du Sud de la Méditerranée, mais rejoint le
travail engagé sur « Les mots de l’Islam aux miroirs des deux rives ». Elle
fait l’objet d’un article paru dans le n° 9 du Bulletin, et l’ensemble de l’étude, largement développée du point de vue de
l’usage des termes en français, sera très prochainement publiée dans une
co-édition SELEFA/Geuthner.
* Séance du mercredi 13
juin 2007 :
Étaient
présents : Paul Balta, Pierre Bordreuil, Philippe Boutrolle, François Bron,
Salah Guemriche, Jean-Louis Heudier, Roland Laffitte,
Naïma Lefkir, Olympe Lemut,
Christian Lochon,
Lucienne Saada. A l’ordre
du jour :
1.
Le point par Roland Laffitte sur le programme de recherche sur
l’imaginaire astral dans la littérature et les traditions orales du Monde
arabe.
2.
Retour sur les noms des térébinthes dans le Moyen-Orient ancien, avec
Philippe Boutrolle et l’akkadien
buðnu
avec Olympe Lemut.
3. Présentation de l’ouvrage de Salah
Guemriche.
* Séance du mercredi 24 octobre 2007
:
La séance
fut consacrée à
dresser le contexte
historique et civilisationnel dans lequel se sont opérés certains emprunts
de mots arabes orientaux dans le domaine des arts culinaires
:
Dans un
premier temps,
Liliane Plouvier, vice-présidente du
Centre de gastronomie historique
à la Haute École Francisco Ferrer, Bruxelles,
a d’abord expliqué que les premières recettes les pâtes alimentaires
actuellement connues figurent dans les tablettes culinaires datant de 1700
avant notre ère, qui mentionnent trois confections céréalières susceptibles
d’être intégrées dans la famille de la pasta : les risnātu,
bappiru et qayyātu. Il ne s’agit bien sûr pas de spaghettis, mais
de pâtes émiettées obtenues par râpage (et non laminage) du pâton, qui
subsistent notamment en Italie sous le nom de pasta grattugiata. Voir
ce numéro du Bulletin, 13-22.
Dans un
second temps,
Mohammed Oubahli, auteur de travaux sur l’histoire de la cuisine dans la
civilisation arabe et islamique, a ensuite présenté l’impact sur la cuisine
européenne médiévale des pâtes alimentaires fabriquées au Maghreb, qui sont
de trois types : 1. la أطريّة aṭriyya,
un type oriental ancien désignant des pâtes faites à partir d’une
feuille laminée au rouleau et coupée en lanières ou des pâtes filiformes
dont le nom a été remplacée au Maghreb actuel par d’autres
termes, et qui se retrouve sous la forme aletria / aletría
dans la péninsule Ibérique et tria en Sicile. 2. Le
فداوش
fidāwš,
d’origine
maghrébine occidentale, désignant des pâtes à potage, que l’on
retrouve dans le catalan et l’occitan
fideus, et le castillan fideos, avec le sens de
« vermicelle »
;
3. Enfin le
كسكس
kuskus, répandu dans la péninsule Ibérique sous la forme d’alcuzcuz
‒
coscosson et coscoton chez Rabealais
‒,
avant d’être
recouvert du voile de l’oubli
par suite de la Reconquista, puis de devenir aujourd'hui en force en
conséquence de la colonisation européenne eu Maghreb.
* Séance du mercredi 28
novembre 2007 :
La séance
fut
consacrée à une rencontre avec Salah Guemriche, auteur du Dictionnaire
des mots français d’origine arabe (et turque et persane), Seuil, 2007
(voir Bulletin n° 10, 34). Rappelant que son livre est non tant œuvre
de linguiste que de romancier, l’auteur a souligné, dans son intervention
comme dans la discussion qui s’est vite instaurée avec les participants,
qu’il a limité sa collection de mots – un peu moins de 400 ‒, à ceux qui
sont largement intégrés à la langue française, comme le montrent les larges
extraits littéraires mettant ces termes en situation. Parti de l’idée que de
nombreux auteurs arabes surestiment les emprunts arabes dans la langue
française, il a souligné que son parcours dans la littérature française de
Rabelais à Houellebecq lui a permis de percevoir un autre phénomène : une
plus grande ouverture d’esprit vis-à-vis des emprunts à la langue arabe aux
xviie et
xviiie siècles
qu’aux siècles suivants. La discussion a également porté sur le va-et-vient
original entre les langues de certains mots comme abricot, orange
ou goudron, et les questionnements sur l’étymologie de certains
autres comme amalgame, calame, théodolite et
trafic :
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2008
* Séance du mercredi 09
janvier 2008 :
La séance fut l’occasion d’une communication
de Roland Laffitte sur le thème « l’arabe SLM et le latin saluus »
dont les champs sémantiques offrent une très large zone commune.
* Séance du mercredi 27
février 2008 :
La séance fut consacrée à une communication
de Christian Lochon sur « Les mots de l’Islam », notamment les termes
nouvellement entrés dans le lexique de la langue française à l’époque
postcoloniale où la religion islamique s’est installée comme seconde
religion de France. (Voir ce Bulletin, supra, 13-18).
* Séance du mercredi 16
avril 2008 :
Après la tenue de l’Assemblée Générale
annuelle, la séance du 16/04/2008 fut consacrée aux perspectives de travail
de SELEFA.
Séance du mercredi
04 juin 2008 :
À l’ordre
du jour, le
point effectué par Roland Laffitte sur le programme de recherche sur
l’imaginaire astral dans la littérature et les traditions orales du Monde
arabe.
* Séance du vendredi
27 juin 2008 :
La séance,
ouverte à tous les amis, a été consacrée à un hommage à notre regretté ami
Abdelmajid El Houssi et à la présentation du dernier numéro du Bulletin
et aux perspectives de travail de notre société.
* Séance du jeudi 02
octobre 2008 :
Étaient
présents : Paul Balta, Philippe Boutrolle, Ali Ibrahim, Roland Laffitte, Christian Lochon,
Kamila Sefta, Muhammad Yakoub. Étaient excusés : Pierre Bordreuil, Arnaud
Sérandour.
À l’ordre
du jour, la
programmation des activités de l’année, présenté par Roland
Laffitte. Ont étés passés en revue les chantiers actuellement en cours
dans le volet « Lexicographie & Étymologie », à savoir « Arts culinaires &
plantes », « Prénoms arabes & musulmans » ; « Corpus mésopotamien », « Mots
de l’Islam : volet religion (dans un 1er temps) ». Ont ensuite
été examinés les chantiers qui seront désormais ouverts : « Corpus
araméen/syriaque », avec pour commencer, « les mots syriaques dans le
Coran » ; « Les mots de la philosophie », dans le cadre du quel nous
tenterons d’étudier l’empreinte du syriaque et de l’arabe sur le vocabulaire
philosophique ; enfin « Méthodologie de recherche étymologique.
* Séance du mercredi 29
octobre 2008 :
Étaient
présents : Philippe Boutrolle, Roland Laffitte, Olympe Lemut. Étaient
excusés : Paul Balta, Pierre Bordreuil, Philipe Boutrolle, Ali Ibrahim, Christian Lochon,
Kamila Sefta, Muhammad Yakoub.
À l’ordre
du jour,
« La méthode de recherche étymologique la Selefa ».
Roland Laffitte a présenté, sur la base de l᾽examen des 12 numéros du Bulletin
désormais publiés, la méthode élaborée de manière empirique sur plusieurs
années, grâce à un travail en réseau effectué selon trois axes :
linguistique (phonologie et morphologie), sémantique (emprunts ou calques,
transferts) et historico-culturel (contexte, histoire des techniques)
(voir CR joint). Olympe Lemut a complété
cette intervention par des précisions historiques. La 1ère
partie du bilan concerne la période qui précède le
xe s. de notre ère,
car cette date représente l’étape principale dans le trajet des emprunts,
l’entrée dans la langue arabe. Avant cette date, la plupart des langues
attestées depuis le iiie
millénaire av. J.-C. sont des langues sémitiques, et quelques unes
indo-européennes (hittite, grec, persan). La proximité des langues
sémitiques a sans nul doute joué un grand rôle dans la diffusion des
emprunts (jeu sur schèmes/racines, bilinguisme des locuteurs). De plus ces
langues sont mortes pour la plupart, ce qui a des conséquences sur la
méthode utilisée : on se base sur des sources écrites et non orales, il n’y
a pas d᾽'informateurs. La plus grande prudence s’impose donc sur
l’authenticité des sources. Enfin, on constate une certaine unité culturelle
du Moyen-Orient et des premiers empires arabo-musulmans, ce qui a favorisé
les échanges linguistiques et donc culturels. À partir du
xe s., les contacts
entre l’arabe et les langues européennes se multiplient en raison des
Croisades, ce qui prolonge en quelque sorte le mouvement amorcé un siècle
plus tôt avec les traductions en arabe d’ouvrages grecs et latins, mais il y
a une accélération des échanges entre le Levant et l’ouest du Bassin
méditerranéen. Cette période fera l’objet d’une autre présentation.
* Séance du jeudi 04
décembre 2008 :
Étaient
présents : Nadera Belaid, Geneviève Humbert, Roland Laffitte, Kamila Sefta,
Muhammad Yakoub. Étaient excusés : Philippe Boutrolle, Ali Ibrahim,
Olympe Lemut,
Christian Lochon, Arnaud
Sérandour. À l’ordre
du jour :
Communication de Roland Laffitte sur le thème « Ces mots qui disent l’Autre
». Voir un compte rendu plus détaillé
dans les fiches « Matériaux de recherche ».
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2009
* Séance du jeudi 9
janvier 2009 :
Étaient
présents : Aïcha Arnaout, Paul Balta, Philippe Boutrolle, Yahya Cheikh, Roland Laffitte,
Naïma Lefkir-Laffitte, Jean-Marie Lamblard,
Suzanne
Ligier, Kamila Sefta,
Muhammad H. Yakoub. Étaient excusés : Ali N. Ibrahim,
Olympe Lemut,
Christian Lochon, Arnaud
Sérandour, Ephrem-Isa Youssif.
À l’ordre
du jour : « Le mot Islam dans les dictionnaires arabes » par Muhammad H. Yakoub.
* Séance du vendredi 23
janvier 2009 :
Étaient
présents : Paul Balta, Pierre Bordreuil, Françoise Bricquel-Chatonnet, Philippe Boutrolle,
Yahya Cheikh, Geneviève Humbert, Lina Husamo, Ali N. Ibrahim, Roland Laffitte,
Michel Nicolas, Christian Velpry, Muhammad H. Yakoub. Étaient excusés :
Aïcha Arnaout, Suzanne Ligier, Christian Lochon, Arnaud Sérandour,
Ephrem-Isa Youssif.
À l’ordre
du jour :
Roland Laffitte a présenté le travail de Arthur Jeffery et Michel
Nicolas celui de Christoph Luxenberg sur
« le
vocabulaire syriaque dans le Coran ».
* Séance du jeudi 02
février 2009 :
À l’ordre
du jour, communication de Olympe Lemut sur : «
La méthode de recherche étymologique à partir
du bilan critique Bulletin de la SELEFA (2ème partie) ».
* Séance du jeudi 05 mars 2009 :
À l’ordre
du jour, communication de Yahya Cheikh et Geneviève Lambert : «
Éléments d'histoire des dictionnaires arabes ».
* Soirée du jeudi 13 mars 2009 :
Présentation
du livre de Paul Balta et Claudine Rulleau,
Islam et islamisme : gare aux amalgames,
par Mohammad Hafidh Yakoub en présence des auteurs.
* Soirée du vendredi 27
mars 2009 :
Interventions de
Alain
Ruscio et Roland Laffitte sur
« Les mots
de la colonisation ».
* Séance du vendredi 9
avril 2009 :
Interventions
de Geneviève Humbert sur le thème: « Les mots du papier », où seront
examinées les différences entre les termes classiques utilisés en Europe et
dans le Monde arabe pour désigner le papier; et de Roland Laffitte sur le
thème : « Des Noms arabes pour les vents », où sera abordé l’héritage arabe
dans le glossaire des vents en Méditerranée occidentale».
* Séance du
vendredi 11 juin 2009 :
Présentation
du N° 13 du
Bulletin de la SELEFA qui est passé à 56 pages, dont 10 en langue
arabe ».
* Séance du
vendredi 11 septembre 2009 :
Étaient
présents :
Paul Balta, Philippe
Boutrolle, Yahya Cheikh, Geneviève Humbert, Ali Ibrahim, Roland Laffitte,
Kamila Sefta, Mohammad Yakoub. Excusés : Pierre Bordreuil, Bernard Bosredon,
Christian Velpry.
Séance de
préparation du n° 14 du Bulletin.
* Séance du Soirée du
vendredi 06 novembre 2009 :
Interventions de Ghawty
Hadjeddine Sari sur
«
un
point de vue musulman sur l’arabe shar‘îa », Yahya Sheikh sur :
« Examen
de l’évolution du terme arabe shar‘îa et son acception actuelle dans la
presse arabe », et Christian Lochon sur «
L’usage
du mot
charia
dans le presse française ».
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2010
* Séance du vendredi 8
janvier 2010 :
Réunion de travail.
* Séance du jeudi 11 mars 2010 :
Réunion de travail.
* Séance du jeudi 6 mai 2010 :
Interventions de Roland Laffitte sut le thème
:
« L’exigence
d'un travail collectif ».
Plus d’un millier de prénoms arabes et
musulmans figurent à l’état civil. Tout autant que les prénoms d’autres
origines (hébraïque, grecque, latine, germanique, anglo-saxonne, celtique,
etc.), leur typologie est riche : elle livre, derrière des noms dont le sens
est rarement mis en évidence, un imaginaire pour partie beaucoup familier
que l’on ne pense, et pour partie singulier et propre à stimuler notre
curiosité. Pourtant les calendriers courants, les éphémérides de la presse
écrite et de la télévision, se contentent des prénoms du calendrier romain
et n’en font pas mention. Leila serait-il plus étrange que Zita, et Rayan
que Rogatien ? Comment faire pour que ces prénoms prennent toute leur place
dans la Cité ?
* Séance du jeudi 17 juin 2010 :
Sortie du Bulletin n° 15.
* Séance du vendredi 24
septembre 2010 :
Plan de travail du trimestre.
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Mille excuses pour cette interruption des
Comptes rendus des séances. Nous reprenons à ce jour (3 octobre
2015), le fil des séances en nous contentant d'en donner le thème et de
créer un line avec les publications auxquelles les interventions ont
éventuellement donné lieu et essaieront de combler progressivement le fossé
existant entre 2009 et 2015 dans la mesure où nos archives le permettent.
2011
* Séance du jeudi 11
décembre 2014 :
Interventions de Jean-Claude Rolland sur le thème « PYRAMIDE : hypothèses
sur l’origine du grec pyramis et de l’arabe haram », et de *
Roland Laffitte sur : « La belle romaine et le quartier de grenade ».
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2012
* Séance du jeudi 11
décembre 2014 :
Interventions de Jean-Claude Rolland sur le thème « PYRAMIDE : hypothèses
sur l’origine du grec pyramis et de l’arabe haram », et de *
Roland Laffitte sur : « La belle romaine et le quartier de grenade ».
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2013
* Séance du jeudi 11
décembre 2014 :
Interventions de Jean-Claude Rolland sur le thème « PYRAMIDE : hypothèses
sur l’origine du grec pyramis et de l’arabe haram », et de *
Roland Laffitte sur : « La belle romaine et le quartier de grenade ».
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2014
* Séance du jeudi 11
décembre 2014 :
Interventions de Jean-Claude Rolland sur le thème « PYRAMIDE : hypothèses
sur l’origine du grec pyramis et de l’arabe haram », et de *
Roland Laffitte sur : « La belle romaine et le quartier de grenade ».
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2015
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